Transport 1 : Montreal/Londres/Dubai/Colombo
A 2500 $ le ticket (aller/retour quand meme...), on esperait un peu de confort. Montreal/Londres, Air Canada: film plate avec la femme de Ferris Bueller + le gars du remake de Louis 19, un genre de Tanguy rate... (tellement plate que j'ai failli quitter la salle*)
Premier sejour a Londres (trois heures dans un aeroport gros comme la nouvelle ville de Levis). Efficacite extreme et prix exorbitants (a six piasses le journal, y peuvent bien se torcher avec).
On prend alors un avion d'Emirat, la compagnie aerienne la plus classe que j'ai jamais vu. Saumon fume, alcool a l'oeil, un ecran dans le siege d'en face avec plus de deux milles disques (Pixies, Artic monkees... et de tout les genres), une infinite de films (il ne manquait que Pousse mais pousse egal**), des teleseries (Simpsons...), plein de jeux video, un telephone, Internet, c'est pas mon genre de m'extasier pour ces conneries mais la j'etait souffle... Mon gadget prefere (a part le papier-cul parfume rose), des cameras a l'exterieur de l'avion qui transmettent en direct des images du dessous et du devant de l'avion avec un paquet de donnees diverses.
Dubai: l'argent sort par les oreilles des gens, c'est juste incroyable, l'aeroport est un centre d'achat de luxe (mode, bijoux, electronique, tout les grands noms). Tu peux y depenser des milliers de dollars, on est loin de l'aeroport de Sept-iles...
Colombo, enfin, apres 20 heures d'avion, les bagages sont tous la, le chauffeur de la job a Lindsay est la, l'hotel est reserve, pas le moindre pepin... (bah, il pleut mais on s'en fout)
C'est le debut d'un temps nouveau!
* 1er concours: ou est-ce que j'ai pique ce gag?
** Pousse mais pousse egal avec Gilles Latulippe a ete en (petite) partie tourne a l'hopital Saint-Sacrement en 1974, l'annee et l'endroit ou je suis ne (bon d'accord on s'en sacre)
Premier sejour a Londres (trois heures dans un aeroport gros comme la nouvelle ville de Levis). Efficacite extreme et prix exorbitants (a six piasses le journal, y peuvent bien se torcher avec).
On prend alors un avion d'Emirat, la compagnie aerienne la plus classe que j'ai jamais vu. Saumon fume, alcool a l'oeil, un ecran dans le siege d'en face avec plus de deux milles disques (Pixies, Artic monkees... et de tout les genres), une infinite de films (il ne manquait que Pousse mais pousse egal**), des teleseries (Simpsons...), plein de jeux video, un telephone, Internet, c'est pas mon genre de m'extasier pour ces conneries mais la j'etait souffle... Mon gadget prefere (a part le papier-cul parfume rose), des cameras a l'exterieur de l'avion qui transmettent en direct des images du dessous et du devant de l'avion avec un paquet de donnees diverses.
Dubai: l'argent sort par les oreilles des gens, c'est juste incroyable, l'aeroport est un centre d'achat de luxe (mode, bijoux, electronique, tout les grands noms). Tu peux y depenser des milliers de dollars, on est loin de l'aeroport de Sept-iles...
Colombo, enfin, apres 20 heures d'avion, les bagages sont tous la, le chauffeur de la job a Lindsay est la, l'hotel est reserve, pas le moindre pepin... (bah, il pleut mais on s'en fout)
C'est le debut d'un temps nouveau!
* 1er concours: ou est-ce que j'ai pique ce gag?
** Pousse mais pousse egal avec Gilles Latulippe a ete en (petite) partie tourne a l'hopital Saint-Sacrement en 1974, l'annee et l'endroit ou je suis ne (bon d'accord on s'en sacre)
posted by Simouth at 10:59 a.m.
5 Comments:
J'ignorais l'anecdote au sujet de "Pousse mais pousse égal", ça me donne envie de revoir le film. En ce moment, ton blogue ne peut recevoir des commentaires que des personnes qui possèdent déjà un blogue. Il faudrait que tu autorises les commentaires anonymes et autres... Tu nous diras si les commentaires entrent bien. Take care et bons baisers à Lindsay.
J'aime la chanson-thème de Pousse mais pousse égale.
Pousse mais pousse égal: it's a classic !!! This movie is different from his previous "Y'a toujours moyen de moyenner" as the cast is older. Much of the actors and actresses aren't in this world anymore (Drouin, Lajeunesse, Huot...). The script is what you would expect from them to play: classic burlesque. The good old days of the "Théâtre des variétés" are, at least, immortalized on film. The last scenes are classic as cream tarts are throwed all over the place.
"Tu nous diras si les commentaires entrent bien!" C'est malin ça. Oui maman, j'ai reçu 6 commentaires et il y en a probablement 4 ou 5 qui ne sont pas rentrés...
pour le concours : ça viendrait pas de Gaston Lagaffe?
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